J’entends de plus en plus dire "Je me suis prostitué à..." ou "branleur". Non, que ma fréquentation des immigrées de l’est ou des adolescents sur-hormonés n’aie augmentée. Je suis, simplement, de plus en plus sensible à l’utilisation de ces termes à connotation sexuelle dans le langage quotidien.
Le premier point commun que je remarque entre ces expressions est qu’elles relèvent du même glissement rhétorique : la généralisation sélective.
Ainsi dans "se prostituer" on généralise une (…)
Facebook fait peur.
Mais, la plupart des critiques se trompent, selon moi, de peur. Leur analyse me fait penser aux gens qui à l’arrivée du téléphone auraient pu dire : "Maintenant on se verra plus, on se téléphonera", ou alors "Maintenant on sera toujours dérangé par les mauvaises nouvelles". (…)